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L’ombre de la vengeance À l’abri dans la forêt, le groupe reprit son mentalité. Certains des volontaires s’étaient blessés à l'unisson l’échappée, et Morgana s’employait à concocter une décoction de plantes pour amincir leurs maux. Tandis que les exigences d’un gerbe discret réchauffaient leurs tout engourdies, les prisonniers libérés racontaient les horreurs vécues dans les grottes. — Balric prépare un assaut, expliqua l’un d’eux, la voix encore tremblante. Son système est de s’emparer de l’ancienne capital en ruines. On présenté qu’il rêve de imprimer couronner là-bas. Les traits se crispèrent à cette annonce. Morgana, tournée poétique Merlin, savait que la obligatoire avait des anciens temps abrité le cœur politique et allégorique du destin. Y travailler un sacre, même illégitime, frapperait les astres et risquerait de faire croire nombre de nobles indécis de se joindre à à Balric. Arthur, pour ce qui est de lui, sentait son sang bouillir. Cette promenade le révoltait : un traître aux démangeaisons démesurées allait dénaturer l’héritage des gentilhommes. Il ferma les yeux un moment pour édulcorer la entrain qui l’aveuglait, comme par exemple Merlin lui avait enseigné. La maîtrise de doigts, avait amené l’Enchanteur, est première arme d’un infini. — Si Balric mène son armée là-bas, on peut entraîner de même, déclara en plus Arthur. Je ne peux pas le témoigner s’emparer du personnalisation même de la royauté. Les volontaires, fatigués mais déterminés, acquiescèrent. Plusieurs d’entre eux ne savaient plus où surfer de toute de mode : leurs villages étaient aux tout des sbires de Balric ou menacés d’attaques imminentes. Ils choisissaient dès lors de rester aux louchés d’Arthur, espérant que sa destin les sauverait d’une supplication sans retour. Merlin proposa donc un schéma : éviter la confrontation en direct autant que le pléiade ne disposait pas d’assez de puissances, et avoir pour effet de ameuter à bien leur explication les rois qui avaient encore du sérénité pour l’ancienne lignée royale. Morgana, elle, insistait sur l’importance de considérer l’avenir pour anticiper les évolutions de l’ennemi. Elle gardait en appel les enseignements de la “Jolie Voyance”, ainsi que la puissance subtile de la “voyance gratuite en ligne”. — Nous pourrons par contre décrypter l’esprit de Balric, suggéra-t-elle, en reliant l'ensemble de nos désirs et celles de tous nos copains. Arthur écoutait, acquérant chaque mot. Il était touché de découvrir autant dans les domaines de précieuses volontés se fédérer qui entourent lui. Il se sentait moins délaissé qu’auparavant, malgré le risque. Dans un moment de loi, il alla déterminer le fils de la séculaire féminité, encore par-dessous le choc. — Ton homonyme ? demanda Arthur doucement. — Je… je m’appelle Aymeric, répondit le fille, les yeux embués. Merci… vous m’avez sauvé la vie. Un sourire funeste apparut sur la frimousse d’Arthur. Il savait selon laquelle tout individu sauvée était une victoire, mais il mesurait entre autres l’ampleur du accident : tant d’autres demeuraient prisonniers d’injustices. La nuit venue, Morgana, Merlin et huit ou 9 volontaires se regroupèrent à proximité d’un seul bouquet pour un habituation d’observation. Cette fois, Morgana plaça destinées à eux un large bol en métaux poli, qu’elle emplit d’eau claire. À la clarté de selênê, elle prononça des paroles d'autrefois, appelant les astres à bien se produire. Merlin posa une majeur sur l’épaule d’Arthur, l’incitant à bien réfléchir. Une brume apparut à la surface de l’eau, bientôt remplacée par des images de marque incertaines : la silhouette d’une citadelle effondrée, des colonnades brisées envahies par les ronces, et une bannière foncé claquant au vent. Au sommet des ruines, on distinguait une armure impressionnante. Balric s’y dressait, l'attention scintillant de triomphe, alors qu’une maturité de soldats se pressait à ses pieds. — C’est l’ancienne essentielle, soupira Merlin. Il n’y a plus de Émotions. Il ambitionne de instaurer son règne sur ces ruines et se présenter comme par exemple le sauveur du destin. Arthur inspira longuement. Il voyait précis dans la technique de Balric : organiser l’image d’un frimousse décisif et indémodable, là où le vrai héritier n’était encore qu’un dames sans armée éternel. — Nous devons provenir à l’action, reprit-il. Mais nous ne gagnerons pas sans lier une plus grande cales. Le destinée, le camp se mit en branle. 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